Présentation et intention

Illustration signée ©Phileas Dog

Cosmos – culture et écologie propose une programmation culturelle, cinématographique et artistique, autour de l’écologie dans son sens le plus large (qui inclut les sujet des féminismes, des exils et migrations, des sciences, de l’astronomie…), et en lien avec le vivant, à destination de tous les publics – adultes, enfants et familles, scolaires et étudiants, de tous âges et de tous milieux.

Cosmos :

Le mot Cosmos désigne à la fois une fleur et l’univers, liant la Terre et le ciel, le tout petit et l’infiniment grand, le présent et le passé, le fini et l’infini… Un nom qui invite à questionner la place que nous, humains, souhaitons prendre dans la toile du vivant. Le nom Cosmos est aussi un clin d’oeil au si beau film, pionnier, Microcosmos de Claude Nurisdany et Marie Pérennou coproduit par Jacques Perrin (1996), film que nous mettrons à l’honneur en 2023 !

Culture et écologie :

Parce que l’écologie est un enjeu crucial, clé de voûte de tous les autres, un défi majeur pour nos sociétés,

Parce que « savoir, c’est pouvoir » (Marie-Monique Robin),

Parce qu’«on aime ce qui nous a émerveillés, et qu’on protège ce que l’on aime» (Jacques-Yves Cousteau),

Parce que notre rapport au monde se construit sur des histoires, et que notre époque appelle à de nouveaux récits (Cyril Dion),

Parce que la culture et l’art sont des vecteurs formidables de savoirs, de découvertes, de partages et d’émerveillement, et à travers cela, de prise de conscience et de passage à l’action,

Parce que le besoin de citoyens de tous âges d’échanger et d’apprendre autour du vivant est croissant,

Parce que la vie sauvage a beaucoup à nous apprendre (Francois Sarano…), et qu’aller à sa rencontre peut aussi être une école de la paix,

Cosmos – culture et écologie s’appuie sur la culture – culture du coeur, de l’esprit et de la Terre – pour susciter la curiosité, la réflexion et l’émerveillement à l’égard du monde et du vivant, transmettre des connaissances sur la Terre, l’envie de la préserver et de la soigner, renouveler notre lien au vivant, à la beauté, transmettre de nouveaux récits, échanger autour de l’écologie dans toute sa transversalité – écologie du vivant, sociale, politique, spirituelle, se faire l’écho des mouvements du monde et de ses habitants, si étroitement lié au sort des autres vivants : féminismes (l’écologie étant intimement, inextricablement liée à la place des femmes), exils et migrations, et tout sujet de société qui nous donnera envie de l’aborder…

Un point de rencontre entre la culture et l’écologie : la beauté. Aimer et préserver la beauté du vivant, l’allier à la beauté des oeuvres de l’humanité, s’en émerveiller et en prendre soin…